Le niveau de vie constitue un déterminant majeur du niveau individuel d'émissions : le quart des ménages les plus aisés est à l'origine de 35 % des #émissions #gaz à #effet de #serre des #mobilités et même de 45 % de celles dues aux voyages.

#Mixité sociale : en 2018, pour l’ensemble des communes étudiées, dans les quartiers où la part des ménages modestes est supérieure à 40 % dans le parc privé, la part de ces ménages modestes dans le parc social créé depuis 2010 est de 51 %.

#Mixité sociale : De 2012 à 2018, l’indice de #ségrégation des 20 % des ménages les moins aisés, tous types de #logement confondus, est stable au sein des 55 unités urbaines étudiées. Il se situe autour de 31%.

#Ségrégation : au sein des 55 unités urbaines de plus de 100 000 habitants, la ségrégation des 5 % des 25-54 ans les plus aisés est maximale à Paris (indice de ségrégation de 50 %).

#Inégalités : le #revenu disponible par ménage a augmenté pour les plus aisés, et a baissé pour tous les autres entre 2008 et 2016. Il a diminué de 2,7% pour les 10% des #ménages les plus modestes, et augmenté de 2,2% pour les 5% les plus riches.

Les #PME estiment que leur #trésorerie s’est dégradée sur les trois derniers mois et elles n’anticipent pas d’amélioration à court terme dans un contexte de ralentissement de l’activité. . Une enquête Rexecode / BPI France le Lab

#MobilitéSociale : en France, il faut plus de 6 générations pour que les enfants issus de familles modestes parviennent à atteindre le revenu moyen, contre 5 dans l'ensemble des pays de l’OCDE.

#violences dans le ménage : d’après l’enquête CVS, 36 % des victimes de violences physiques et / ou sexuelles dans le ménage font partie des classes modestes, et 18 % d'entre elles font partie des classes aisées.

Le taux de propriétaires chez les jeunes ménages modestes a décru, passant de 34 % en 1973 à 16 % en 2013. Au contraire, il a augmenté pour les jeunes ménages aisés, passant de 43 % à 66 %.

#Héritage : En France, 66% des ménages les plus aisés (quintile de richesse net supérieur) reçoivent des héritages ou des dons alors qu’il en est le cas pour seulement 19% des ménages les plus pauvres (quintile de richesse net inférieur).

Un enfant de cadre supérieur a 4,5 fois plus de chances qu'un enfant d'ouvrier de faire partie des 20% les plus aisés et 20 fois plus de chances d'appartenir au top 1%

En 2013, 1,6 % des ménages à bas revenus vivent dans un logement sans le confort sanitaire de base (baisse de -7,4 pts depuis 1996)

La part des dépenses de consommation dédiées au mobilier / l’entretien courant de la maison varie du simple au double entre ménages pauvres (4 %) et ménages aisés (7 %)

Les ménages aisés consacrent 14 pts de % de plus de leur consommation aux loyers / charges, 3 pts de plus en assurances et 5 pts de plus en transports que les ménages pauvres

Les quatre grands postes de dépenses des ménages représentent 68 % de la consommation des ménages pauvres et modestes-non pauvres, contre 60 % des ménages aisés

Espérance de vie par niveau de vie : chez les non-diplômés, l’espérance de vie à 35 ans des hommes pour les 25 % les plus aisés est de 46 ans vs 39 ans pour les 25 % les plus modestes

Mal-logement : la part de propriétaires parmi le quintile des 25-44 ans les plus modestes a été divisée par 2 de 1973 à 2013, passant de 34 % à 16 %

Les mesures #socio-fiscales menées par la majorité devraient accroître de +1,6% le niveau de vie des ménages appartenant aux 5% les plus #aisés en 2018 (soit 1.730 par ménage)

Avant impôts et prestations sociales, les 10% les plus aisés (5.939€ par mois) touchent 21 fois plus que les 10% les plus modestes (281€ par mois)

On évalue à 222.000 le nombre annuel de #victimes de #viols, de tentatives de viols et d’#attouchements sexuels parmi les personnes de 18 à 75 ans en France métropolitaine