En 2022, la #consommation #primaire d'#énergies #renouvelables s'élève à 345 TWh. Le bois-énergie et l'hydraulique sont les filières les plus développées, suivies des pompes à chaleur, des biocarburants et de l'éolien.

19,3 %, c'est la part des #énergiesRenouvelables dans la consommation finale brute d’énergie en 2021. Cette part a augmenté de 10 points depuis 2005, du fait du fort développement des énergies renouvelables.

+70 %, augmentation de la #production primaire d’#énergies #renouvelables depuis 2005 en France métropolitaine. Cette augmentation importante est principalement due à l’essor des #biocarburants, des #pompes à chaleur et de la filière #éolienne.

En 2020, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d'énergie de la France atteint 19,1%. Ces 10 points de plus depuis 2005, sont dus notamment au fort développement de l’#éolien, des #pompes à chaleur et des #biocaburants.

Avec 339 TWh, les #énergies renouvelables représentent 11,7 % de la consommation d’énergie primaire. Leur part dans le bouquet énergétique de la France a progressé d’environ 4 points sur les dix dernières années (7,8 % en 2009).

La croissance importante de la production primaire d’#énergies renouvelables depuis 2005 (+ 72 %) est principalement due à l’essor des biocarburants, des pompes à chaleur et de la filière éolienne.

#EnR :17,2%, c'est la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d'énergie de la France en 2019. Cette part a augmenté de 8,0 pts depuis 2005, du fait notamment du fort développement des #biocarburants et des pompes à chaleur.

132 300 salariés étaient en insertion en 2018, un nombre en baisse de 4,7 % par rapport à 2017.

L’indice conjoncturel de fécondité est de 1,87 enfant par femme en France en 2018, et l’âge moyen à la maternité recule encore (30,6 ans).

Évolution du parc automobile en circulation selon leur vignette #Critair : au rythme actuel de renouvellement du parc, les voitures les plus anciennes, classées Critair 3, 4, 5 et non classées, pourraient avoir quasiment disparu une dizaine d’années.

1,9 %, c'est la part de l'énergie dans la valeur ajoutée en France en 2018. Elle tend à croître depuis la fin des années 2000 avec le développement des énergies renouvelable.

#EnR : En 2018, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d'énergie de la France atteint 16,5%. Cette part a augmenté de 7,2 points depuis 2005, du fait notamment du fort développement des biocarburants et de l'éolien.

En France, 27 % des enseignants et des chefs d’établissements sont âgés de 50 ans et +, contre 34 % pour la moyenne OCDE. Cela signifie que la France devra renouveler plus ou moins 1/4 du personnel enseignant au cours des 10 prochaines années.

#Artificialisation L'augmentation de la densité et du taux de renouvellement urbain pourraient réduire drastiquement la consommation d'espaces naturels, agricoles ou forestiers (ENAF).

#énergiesrenouvelables : la production primaire d'énergies renouvelables augmente de 62% entre 2005 et 2017, du fait notamment de l’essor des #biocarburants, des pompes à chaleur et de la filière éolienne.

En 2016, le gaz d'origine fossile représentait 21 % de la consommation française d’énergie et générait 20 % des émissions de gaz à effet de serre.

Les #énergies renouvelables représentent 16,3 % de la consommation finale brute d’énergie en 2017. Cette part a progressé de 7 points en l’espace de douze ans, dont 0,3 point entre 2016 et 2017.

La production d’électricité à partir de sources renouvelables s’est accrue de 6,4 % par an en moyenne entre 2009 et 2014 dans le monde

Plus de 70 % du chauffage consommé dans le monde provenait de combustibles fossiles (charbon, pétrole, gaz naturel) en 2015 vs 7 % provenant d’énergies renouvelables modernes

17 % de l’énergie dans la consommation finale brute d’énergie de l’UE provient de sources renouvelables en 2017, vs 8,5 % en 2004

Observatoire de la #Démocratie : 54% des Français pensent que la démocratie « fonctionne bien en France » (vs 36% en septembre 2016 et 30% en avril 2014)

Le mix énergétique primaire mondial reste dominé à 81,4% par les énergies fossiles (pétrole, gaz naturel et charbon) en 2015 (vs 86,7% en 1973)